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Page:Leconte de Lisle - Derniers Poèmes, 1895.djvu/93

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Et la mer, où le ciel repose,
Fait monter son vaste et doux bruit
Sur les mornes que l’aube arrose.

Mais les yeux divins que j’aimais
Se sont fermés, et pour jamais,
Dans l’air léger, dans l’azur rose !