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Page:Leconte de Lisle - Poëmes et Poésies, 1855.djvu/125

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LES ASCÈTES.



À Jobbé-Duval.



I


Depuis qu’au joug de fer blanche esclave enchaînée,
La Grèce avait fini sa belle destinée
Et qu’un dernier soupir, un souffle harmonieux
Avait mêlé son ombre aux ombres de ses dieux,