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Page:Leconte de Lisle - Poëmes et Poésies, 1855.djvu/192

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Tu rentreras vêtu du suaire ascétique,
Laissant l’homme futur, indifférent et vieux,
Se coucher et dormir en blasphémant les dieux.



En nageant dans l’écume et les bruits de l’abîme,
Il disparut, tourné vers l’espace sublime.