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Page:Leconte de Lisle - Poëmes et Poésies, 1855.djvu/228

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L’un est son regard, l’autre, son sourire,
Le troisième, enfin, est sa lèvre en fleur ;
Mais je l’aime trop, c’est un vrai martyre :
Avec trois fils d’or elle a pris mon cœur !


Oh ! si je pouvais dénouer ma chaîne !
Adieu, pleurs, tourments ; je prendrais l’essor,
Mais non, non ! mieux vaut mourir à la peine
Que de vous briser, ô mes trois fils d’or !