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Page:Leconte de Lisle - Poëmes et Poésies, 1855.djvu/94

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Sans une onde vive où me ranimer,
Je le suis, je cours dès l’aube vermeille ;
Mes yeux sont déjà près de se fermer,
Je meurs ; mais le dieu me dit à l’oreille :
Oh ! le faible cœur qui ne peut aimer !