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Page:Leconte de Lisle - Premières Poésies et Lettres intimes, 1902.djvu/122

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et lettres intimes

Tellement que je ne mange plus.
Je maigris à vue d’œil.
Écrivez-moi donc.
Adieu, mio caro poeta,
Portez-vous bien !


Vostr’ amico,
C. Leconte de l’Isle.