À propos, je viens de faire la connaissance du signor Barbieri, pittore ilaliano, élève de l’École de Rome, qui vient de faire un beau portrait de Drouin : vous le verrez.
Comme je vous l’ai écrit déjà, j’ai donné une
petite pièce de vers au Foyer ; c’est une Fleur du Gange, commençant par ce vers :
Sous les palmiers, frais berceaux du vieux Gange…
Cette bluette a eu, m’a-t-on dit, quelques succès parmi ceux et celles qui lisent des vers : — grand bien me fasse !
Je vous présenterai à Langlois, le rédacteur du Foyer ; c’est un bon garçon, et vous lui ferez parfois l’aumône poétique.
Robiou imprime comme un tigre royal dans le vénérable Dinannais, journal agricole ! Il ne va que par cent et deux cents vers, plus pitoyables les uns que les autres. C’est à mourir de rire et d’ennui tout ensemble.
Notre manuscrit est encore inachevé : il lui manque huit pièces. Nous aurons à choisir sur