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Page:Leconte de Lisle - Premières Poésies et Lettres intimes, 1902.djvu/263

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premières poésies

intimes ! Jusqu’ici je n’ai point encore rencontré une de ces douces et charmantes amitiés de femme que vous voulez bien offrir à mon cœur, et je ne saurais trop en remercier votre dame. Qu’elle veuille bien accepter l’hommage de mon dévouement ; et, quant à vous, mon Ami, croyez en mon inaltérable affection.

Tout à vous de cœur.

C. Leconte de Lisle.