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DE ROULETABILLE
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paroles à ce pauvre garçon, il le mit poliment à la porte.
Dehors, Rouletabille marchait comme un homme ivre, soutenu par Vladimir. Un officier d’état-major le rejoignit :
— Monsieur Rouletabille, lui dit cet officier, je vous cherche partout ! j’ai une lettre à vous remettre de la part de Mlle Vilitchkov.
— Quand et où vous l’a-t-elle donnée ? s’écria le reporter qui tremblait sur ses jambes.
— Mais, hier matin, ici, avant son départ !
— Et c’est maintenant que vous me la remettez !
— C’était le désir et même l’ordre de Mlle Vilitchkov que cette lettre ne vous fût remise, monsieur, qu’à cette heure-ci !
Rouletabille arracha l’enveloppe et lut :
« Adieu pour toujours ! petit Zo ! je t’aimais pour tant et tu en as douté ! »