Aller au contenu

Page:Leroux - Mister Flow.djvu/281

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

more » se fût à nouveau trouvé sous mes pieds… Qu’est-ce qui ?… qu’est-ce qui vous fait croire cela, Helena ?

Darling, quand vous m’avez écrit à Deauville, sir Archibald y était de retour. Vous savez, cette petite lettre où vous me disiez : « Viens », et que vous aviez signée Rudy, me donnant votre adresse « Mme Antonin Rose, la Délivrande… »

— Oui, eh bien ?…

Darling, je crois, en vérité, que cette lettre avait déjà été ouverte quand je la trouvai dans mon courrier…

— N… de D…

Yes ! Damn ! Et puis, nous n’avons, n’est-il point vrai, Rudy ?… nous n’avons pas toujours été très prudents avec Fathi… « Nous l’avons pris un peu trop facile » !

— Il est ici, Fathi ?

— Non ! Fathi est mort. Je crois, en vérité, qu’il lui est arrivé un accident. Durin l’a peut-être empoisonné, mais ça n’a pas d’importance. Un domestique ! Ce qui est important, darling, c’est l’amitié soudaine et extraordinaire, en vérité, que sir Archibald vous a manifestée, cette invitation inattendue de venir à ses chasses aux Black Rooks ! Cela ne s’indiquait pas nécessairement. Ce n’est pas votre avis, Rudy darling ?

— Ah ! vous me faites entrevoir des choses…

— Il est tout à fait possible qu’il ait voulu vous attirer chez lui, n’est-ce pas ? Mais nous allons fuir !…

Nous étions arrivés au château. Je pense bien