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Page:Leroux - Une histoire épouvantable, paru dans l'Excelsior du 29 janvier au 3 février 1911.djvu/16

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» Je rentrai chez moi et me mis à surveiller mes voisins. Ils ne se montrèrent point, et, bien avant la nuit, j’apercevais les volets fermés et, dans leurs interstices, des lumières, des lueurs, comme j’en avais vues lors de la très singulière nuit, un an auparavant. Seulement je n’entendais pas encore le prodigieux bruit de tonnerre de tambour de bois.

» À sept heures, me rappelant la toilette de soirée de la dame à la lampe, je m’habillai. Les dernières paroles de