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Page:Leroy-Beaulieu, Essai sur la répartition des richesses, 1881.djvu/56

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mité des situations humaines qui serait mortelle à la société, le mouvement économique actuel conduit à un plus grand rapprochement des conditions sociales, à une moindre inégalité entre les fortunes. C’est la conclusion qui ressortira de ce livre nous ne disons pas, remarquez-le, que ce soit la thèse qui est soutenue dans ce livre ; car cette pensée n’a pas inspiré notre ouvrage, elle en découle seulement ; elle n’a pas présidé à nos observations, elle en est la conséquence.