Aller au contenu

Page:Les Amours, galanteries et passe-temps des actrices, 1833.djvu/48

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
( 40 )


chi et commençait à baisser humblement la tête, je m’aperçus à temps du malheur qui me menaçait et par les caresses les plus tendres j’eus bientôt remis le pauvre effaré dans son état brillant. Oh ! de quels plaisirs alors je fus payée pour la complaisance que j’avais déployée dans cette occasion, après avoir de nouveau repris par quelques attouchemens tous les avantages que la surprise lui avait fait perdre, il me replaça dans la position que je vous ai décrite tout à l’heure et aussitôt je sentis entre mes cuisses l’instrument auquel j’avais dû tant de fois de douces sensations, j’aidai en poussant mes fesses vers les cuisses de mon amant à la prompte jonction de nos deux parties et je le sentis s’introduire jusqu’à la racine, sa chaleur me brûlait les entrailles, je ne fus plus maîtresse de moi et je me livrai à toute ma fureur amoureuse avec un emportement qui mettait mon amant aux nues. Ah ! disait-il, non jamais,