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Page:Les Caquets de l'Accouchée.djvu/45

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Le Frère.

Bendées.Comme les synagogues
Qu’on voit au portail de l’eglise.

La Seur.

Accouchées ont le temps.

Le Frère.

Accouchées ont le temps.Les vogues…

La Seur.

Je ne deuil que de vielles dogues
Qui font les sucrées.

Le Frère.

Qui font les sucrées.C’est la guyse.

La Seur.

Mon frère, il est temps qu’on s’avise
D’aller autre part caqueter.

(Dyalogue composé l’an mil cinq cent douze pour jeunes enfans [Œuvres de maistre Roger de Collerye, etc. Paris, Bibliothèque elzevirienne de P. Jannet, 1855, in-16].)

VI.

« 17. — Deffendons de faire le procès extraordinaire à quelques personnes que ce soit, si ce n’est chez les accouchées ou autres bureaux solennels à ce