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Page:Les Folies amoureuses d’une impératrice ; Catéchisme libertin, 1900.djvu/57

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dans le cas de faire par lui dans le libertinage, sous votre vigilance et férule, répondent encore de son succès.

Agréez, Madame, comme une offrande légitimement due, le sacrifice que je vous fais ici de deux pollutions complètes, et que je jure réitérer chaque jour en votre honneur et intention ; c’est un tribut qu’on ne peut refuser au souvenir de vos charmes dont j’ai tant de fois éprouvé l’empire, surtout dans ces moments d’ivresse et d’abandon général où vous vous plaisiez à les exhiber dans l’état de pure nature. Quelle motte ! Quel con ! Quel fessier plus attrayant que le vôtre ! Vous voir, vous trousser, vous foutre et décharger n’était que l’instant de l’éclair au coup de tonnerre.

Pardonnez-moi cette petite indiscrétion : quiconque vous connaît la trouvera juste. Permettez que je me rappelle aussi à vos amoureuses intentions, ainsi qu’à votre souvenir charnel, dans vos oraisons éjaculatoires, et que je me dise, avec les senti-