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Page:Les Sérails de Londres, 1911.djvu/126

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LES SÉRAILS DE LONDRES

ciers de Coldstream, et même tout le Corps diplomatique.

Mmes P...pe et C...ce avec la signora G...i composèrent une coterie dans laquelle Miss Ray venoit souvent. Un certain marin avoit coutume d’assister fréquemment à leur bruit particulier, quoiqu’il les rendit ordinairement assez public par le battement des timballes, du prix, au moins, de trois faveurs par heure.