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Page:Les Sérails de Londres, 1911.djvu/347

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LES SÉRAILS DE LONDRES

qui ont premièrement été introduits dans le Bal d’Amour de Madame Pendergast, par l’Oiseau de Paradis ; tandis que lady P...cy forme une nouvelle intrigue avec le coq du village d’Hampton, qui a complètement établi sa réputation parmi les vierges, les femmes mariées et les veuves : le globe tourne toujours sur son axe : les jours et les nuits sont à peu près égaux vers les équinoxes : les sénateurs se querellent pour les intérêts de terre et de mer. Ceux qui sont pour la cause de la mer attaquent ceux qui sont du parti contraire de malversation dans leurs régies ; et, quand ils se sont bien disputés et injuriés, ils ont recours à la question préalable, et leurs débats se terminent enfin par une majorité bien assurée.

Tel étoit l’état précis des affaires lors de notre introduction au Chapitre 32 de cet ouvrage qui, nous n’en doutons point, sera lu dans tous les quartiers du globe par les personnes de toutes les religions, de tous les partis et genres quelconques, sans en exclure l’épicurien ; et qui, de plus, sera traduit dans toutes les langues mortes et vivantes qui, jusqu’à ce jour, ont été inventées, sans en excepter celle de l’île de Formosa, quoiqu’elle n’ait jamais existé que dans la tête de son auteur. Mais il me semble entendre la voix de la critique s’écrier :