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Page:Les Sérails de Londres, 1911.djvu/407

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LES SÉRAILS DE LONDRES

honoraires de dix gainées par semaines pour l’entretien de sa maison dans New-Buildings.

Les grâces C.rt..r, Arms.st.ng et Stanl..y, paroissent, comme de coutume, avec goût et élégance ; elles sont toujours résolues de ne se lier à aucun homme ; mais d’aller continuellement partout où le plaisir et le profit les attirent.

Lady Ad..ms ayant été beaucoup dans le service, est en quelque sorte battue du temps. Elle a été dans plusieurs tempêtes jetée sur les rochers et les bancs de sable. Peu s’en fallut que cet hiver elle n’ait pas échappée à la tempête qui l’a jetée sur la côte de Tavistock-Row, Covent-Garden. La dernière fois que George S..lw..n la vit, il jura, d’après ces circonstances, que le nom de lady Ad...ms étoit une méprise faite à dessein ; et qu’il ne l’appelleroit plus désormais que sa vieille mère Eve.

Lady G...r est toujours très-généreuse de ses faveurs. Monsieur T.rn.r seroit son homme favori si son avarice ne la forçoit pas à voler dans les bras du baronet G.t..p, et d’autres dont les cordons de la bourse sont plus facilement déliés.

Clara Hayw..d figure sur et hors du théâtre dans différentes parties et attitudes ; elle s’attire partout l’applaudissement général, particulièrement dans les parties de dessous.

Lady Brad..y s’attache comme un morpion à son maître maçon.