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Page:Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, 1933.djvu/168

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L’insecte prend le bon moment :
Il mord si dru, qu’à sa braguette
Le Saint-Père porte la main
Et sur son auguste roupette
Du morpion bénit l’hymen.

Les deux époux pendant leur vie
Goûtèrent un bonheur si grand
Qu’à chacun ils faisaient envie.
De nos jours même on se surprend
À dire : « Il vit comme un satrape,
Ayant tout à discrétion ;
Heureux autant qu’un morpion
Collé sur la couille du pape. »


Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, Vignette de fin de chapitre
Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, Vignette de fin de chapitre