Aller au contenu

Page:Les filles de Loth et autres poèmes érotiques, 1933.djvu/177

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XV

« Puisque tu es venue à Rome
T’accuser, sans hésitation,
Tonton, tonton, fontaine, tonton,
D’avoir par trop croqué la pomme,
Prête-moi donc ton joli con,
Tonton, fontaine, tonton !

XVI

Si tu l’as tant prêté, ma chère,
À moi le prêteras-tu donc,
Tonton, tonton, fontaine, tonton,
Te faire baiser par un Père,
Tu verras que ça a du bon,
Tonton, fontaine, tonton !

XVII

Caroline se couch’ par terre
Et fout son cul à l’abandon,
Tonton, tonton, fontaine, tonton,
Et, sans tarder, le « Grand Vicaire »
Se met à lui branler l’bouton,
Tonton, tontaine, tonton !

XVIII

Il lui fit écarter les cuisses
Et lui foutit sa pine au con,
Tonton, tonton, tontaine, tonton,
Et c’est ainsi qu’il l’encuisse
Et lui en fout six pouc’s de long,
Tonton, tontaine, tonton !


— 143 —