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Page:Londres - Adieu Cayenne.djvu/209

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Et je montai.

Voilà ma chambre. Je tourne le bouton électrique. Une glace au mur, un grand miroir où l’on se voit tout entier ! Vous pensez si je me contemple. Depuis longtemps je n’avais regardé comment j’étais fait. Un lit avec deux draps ! Et le matin, une petite femme de chambre qui m’apporte un café avec un croissant. Un croissant ! Oui, monsieur !

Eh bien ! cela, vous pouvez me croire, c’est ce que l’on appelle retrouver la vie.