Aller au contenu

Page:Londres - L’Âme qui vibre, 1908.djvu/116

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
106
L’ÂME QUI VIBRE


VIII

J’ai parlé de Bonté parce qu’elle est pour moi
L’essence de mon âme. Ou, plutôt, que mon âme
Est la toute bonté dans un corps qui la blâme.

Mais que me font son blâme et son manque de foi ?
Le corps est l’ostensoir où repose l’hostie,
Et qu’est-ce que le corps, sans l’âme en lui blottie ?