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Page:Lorrain, Jean - Sonyeuse, 1891.djvu/279

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et cela dans la petite ville de la côte où nous avions grandi tous deux, nous frôlant presque, dans la somnolence et l’engourdissant apaisement de la province, avec dans les yeux le rêve éternel de la mer geigneuse et de ses mouvants horizons.