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Page:Lorrain - Les fleurs poétiques, simples bluettes, 1890.djvu/114

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Les Fleurs poétiques.


«  Et nos restes mortels
Dans la même demeure
En paix attendront l’heure
Des réveils éternels.

«  Tu sais combien je t’aime.
Au nom de l’amitié,
Corinne, par pitié !
Entends mon vœu suprême !… »