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Page:Lorrain - Les fleurs poétiques, simples bluettes, 1890.djvu/163

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L’ŒILLET

à l’honorable m. j.-e. robidoux
Voilà qu’il sort une fleur panachée,
Riche en couleurs, d’une odeur recherchée.
C’était l’œillet…
r. de beaucaron.


Ô splendide œillet ! rival de la rose,
Digne de charmer les loisirs d’un roi,
Ma muse te doit une apothéose :
Que mes humbles vers aillent jusqu’à toi !
Digne de charmer les loisirs d’un roi,