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Page:Lorrain - Les fleurs poétiques, simples bluettes, 1890.djvu/88

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Les Fleurs poétiques.


L’autre soir, la brise
Sifflait tristement ; et, silencieux,
Je l’avais surprise
Priant à genoux, les larmes aux yeux.

Et ce soir, la brise
Sombrement gémit au ciel sans flambeau…
Le mal qui la brise
À grands pas la mène au bord du tombeau…