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Page:Loti - La Maison des aïeules, 1927.djvu/20

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dernières de nos vieilles tantes étaient mortes, — et je n’avais plus revu l’antique demeure.

Mais je ne l’avais point oubliée, et il restait décidé au fond de moi-même que je la rachèterais un jour, quand le pasteur, qui l’habitait depuis si longtemps, y aurait achevé son existence d’apôtre.