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Page:Loti - La Maison des aïeules, 1927.djvu/41

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Mais la banalité de l’hôtel campagnard où l’on nous arrête, les détails ordinaires de l’arrivée, tout cela est pour couper mon rêve, dès l’abord. Et je ne retrouve plus rien ; j’ai seulement le cœur serré, à cause de ce