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Page:Loti - Roman d’un enfant, éd. 1895.djvu/164

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LE ROMAN D’UN ENFANT

le mur de leurs branches ; rouvrant les vieilles fenêtres qu’on avait fermées, ébranlant tout !

J’ai un souvenir effrayant et magnifique de ces orages de la Limoise, tels qu’ils m’aparaissaient, à cette époque où tout était plus grand qu’aujourd’hui et palpitait d’une vie plus intense…