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Page:Loti - Roman d’un enfant, éd. 1895.djvu/222

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LE ROMAN D’UN ENFANT

Et dans mon dégoût de la vie, je ne me soignais même plus ; je recevais maintenant des remontrances pour être mal peigné, pour avoir les mains sales (d’encre s’entend)… Mais si j’insistais, je finirais par mettre dans mon récit tout le pâle ennui de ce temps-là.