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Page:Louÿs - Œuvres complètes, éd. Slatkine Reprints, 1929 - 1931, tome 3.djvu/125

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éteint, comme les cheveux des pleureuses à gages qu’on louera pour mes funérailles.

— Tu ne la vois donc pas, insensé !

— Suis-je aveugle, ou te ris-tu de moi ?