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Page:Louÿs - La Femme et le Pantin, 1916.djvu/183

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Où Mateo se trouve assister à un spectacle inattendu.


Toute la nuit j’errai sur les remparts. L’intarissable vent de la mer douchait ma fiévre et ma lâcheté. Oui, je m’étais senti lâche devant cette femme. Je n’avais que des rougissements