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Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome I.djvu/10

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Applaudissez-vous, mes chers rivaux ; je quitte la carrière, je renonce à toute ambition ; ma maîtresse, mes pinceaux, ma lyre, voilà tout ce que j’emporte dans ma solitude. Le monde n’existe plus pour moi : je n’y serai pas même témoin de vos opérations de génie : & si le bruit qu’elles feront parvient jusqu’à ma retraite, elle me sera doublement agréable.