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Page:Luchet - Le Vicomte de Barjac, Tome I.djvu/114

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système fut de ne s’affecter de rien, & d’adorer les femmes, au lieu de les aimer, chose infiniment plus commode pour les deux sexes. Pour occuper le tems, le délassement du jeu succédoit aux parties de chasse ; la gaîté d’un joli souper à l’enchantement des spectacles ; les douceurs d’une conversation choisie au plaisir voluptueux de la danse. Les hommes vraiment aimables sont invités nés par-tout. Il vole volontiers de distractions en distractions. On se plaît aisément où l’on a des succès, & l’agrément qu’on sent le mieux est celui qu’on procure aux autres.

Dans ces nouveaux principes,