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Page:Lucien - Scènes de la vie des courtisanes, 1894, trad. Louÿs.djvu/156

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LA RÉCAPITULATION

quefois deux, quelquefois quatre oboles. Tout cela réuni, c’est la fortune d’un matelot.

myrtalê

Les oignons et les poissons, Dôriôn ?

dôriôn

Mais oui. Je n’avais rien de plus à te donner. Je ne serais pas rameur si j’étais riche. À ma mère je n’ai jamais rapporté même une tête d’ail. Mais je voudrais bien savoir ce que tu as reçu du Bithynien, en cadeaux.

myrtalê

D’abord, tu vois, cette robe ? C’est lui qui me l’a achetée, et ce gros collier aussi.