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Page:Lyndamine ou l’Optimisme des pays chauds, 1875.djvu/271

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  Et je leur dis : — Fuyez trois cons.
  Celui-ci gardé par deux armes,
  Jusqu’au vit porte les alarmes.
  Bandez, et foutez ce conin :
  Le ressort part, adieu l’engin.
  Il y va donc de votre vie.
  De le foutre aurez-vous l’envie ?
  Avez-vous un peu de vertu ?
 Craignez encore un con souvent foutu ;
  Car je vous en donne parole,
  Chancre, chaudepisse, vérole,
  S’empareront de votre vit
  Et vous aurez le cul pourri.
  Fuyez encor ces chaudes fentes,
  Qui, d’abord, semblent ravissantes,
  Mais dont les plus raides bourdons
  Contentent à peine les cons.
  Il faudrait les foutre sans cesse,
  Même jusqu’à l’épuisement,
  Et pour prix de votre tendresse,
  Périr d’amour en les foutant.
  Mes chers enfants, soyez en garde ;
 Avant de foutre un con, je le regarde.
  Tous devez être satisfaits,
  De mes leçons, de mes secrets.
  Ajoutons deux mots pour nos filles ;
  Elles sont toutes si gentilles,
  Qu’il faut être un monstre inhumain,
  Pour en empoisonner le sein.