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Page:Mémoires de Suzon soeur de D. B., 1830.djvu/191

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nous rendait souvent visite. Feignant de ne pas vouloir croire aux éloges qu’il me donna après en avoir entendu la lecture, je lui dis : Puisque vous trouvez tant de bon sens dans mon plan, oseriez-vous, Monsieur, vous en avouer l’auteur, s’il venait à être exécuté ? Oui, oui, Mademoiselle, me dit-il, je me charge même de le présenter à monsieur le contrôleur-général ; la précaution que vous avez eue de le faire au nom d’un homme, empêchera le plus petit changement, et j’y vais de ce pas.

Il sortit aussitôt en m’assurant qu’il le ferait appuyer.


CONCLUSION

Dès que j’eus fini la lecture des Mémoires de ma chère Suzon, je prévins les réflexions qu’allait sûrement faire mon cher Comte, en lui disant que la fin mal-