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Page:Mémoires de Suzon soeur de D. B., 1830.djvu/36

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désir qu’avait mon amant de ne laisser échapper aucune des impressions, que le récit de différentes aventures d’une femme que j’avais beaucoup aimée devait faire sur moi.

Je commençai donc par prendre une tasse de chocolat pour me donner la force de soutenir une si longue tâche, et je me mis ensuite à lire les mémoires suivans.