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Page:Mérat - L’Idole, 1869.djvu/36

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Le Sonnet des seins.


Blanches ſérénités de l’océan des formes,
Quelquefois je vous veux, ſous les muſcles énormes,
Géantes & crevant le moule de mes mains.

Plus frêles, meſurant l’étreinte de ma lèvre,
Vers la ſucceſſîon des muets lendemains,
Conduiſez lentement mon extaſe sans fièvre.