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Page:Mérat - L’Idole, 1869.djvu/38

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Le Sonnet des bras.


Et quand, l’âme & les ſens raſſaſiés, l’eſprit
Clairvoyant vous regarde, il voit & vous décrit
Relevés & pareils aux anſes d’une amphore ;

Du poignet nu ſans vain bracelet de métal,
Et du coude où le blanc a des rougeurs d’aurore,
A l’épaule au parfum plus doux que le ſantal.