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Page:Mérimée - La Double méprise, 1833.djvu/127

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histoires charmantes qui vous enchanteront. Hier, il m’en a conté de si jolies que je lui disais toujours : Mais gardez-les donc pour demain, vous les direz à mes dames, au lieu de les perdre avec une vieille maman comme moi. »

— « Vous a-t-il conté son histoire de la femme turque qu’il a sauvée ? » demanda madame Dumanoir, cette dame qui conseillait le kalydor.

— « La femme turque qu’il a sauvée ? Il a sauvé une femme turque ? Il ne m’en a pas dit un mot. »