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Page:Mérimée - La Double méprise, 1833.djvu/206

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— « Quel beau voyage que le vôtre, » dit-elle, « et combien je regrette de ne pouvoir jamais en faire un semblable ! »

Mais Darcy n’était plus en humeur conteuse. — « Quel est ce jeune homme à moustaches, » demanda-t-il brusquement, « qui vous parlait tout-à-l’heure ? »

Cette fois, Julie rougit encore davantage. — « C’est un ami de mon mari, » répondit-elle, « un officier de son régiment… On dit, » poursuivit-elle, sans vouloir abandon-