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Page:Mérimée - La Double méprise, 1833.djvu/225

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trouve heureux dans le petit appartement que ma tante m’a donné. Et vous, vous demeurez, m’a-t-on dit, dans le faubourg Saint-Honoré. On m’a indiqué votre hôtel. Vous devez avoir un jardin magnifique si la manie de bâtir n’a pas changé déjà vos allées en boutiques. »

— « Non, mon jardin est encore intact, Dieu merci ! »

— « Quel jour recevez-vous, Madame ? »

— « Je suis chez moi à peu près