Aller au contenu

Page:Mérimée - La Double méprise, 1833.djvu/32

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

goûtant pour une femme que ces caresses qu’il est presque aussi ridicule de refuser que d’accepter.

— « Marie », dit madame de Chaverny, « le corsage de ma robe bleue est beaucoup trop long. J’ai vu aujourd’hui madame de Begy qui a toujours un goût parfait, son corsage était certainement de deux bons doigts plus court. Tenez, faites un rempli avec des épingles, tout de suite, pour voir l’effet que cela fera. »

Ici s’établit entre la femme de