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Page:Mérimée - La Double méprise, 1833.djvu/52

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— « Un libertin… vous le savez. Il avait des maîtresses lorsqu’il était au régiment ; et quelles maîtresses ! Dites tout cela à sa femme. »

— « Oh ! comment dire cela ? Entre l’arbre et l’écorce… »

— « Mon Dieu ! il y a manière de tout dire !… Surtout dites du bien de moi. »

— « Pour cela c’est plus facile. Pourtant… »

— « Pas si facile, écoutez ; car, si je vous laissais dire, vous feriez tel