Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
viaient son bonheur, et peut-être le supposaient beaucoup plus grand qu’il n’était en réalité.
Julie, après avoir senti sa cassolette et son bouquet à plusieurs reprises, parla de la chaleur, du spectacle, des toilettes. Châteaufort écoutait avec distraction, soupirait, s’agitait sur sa chaise, regardait Julie et soupirait encore. Julie commençait à s’inquiéter. Tout d’un coup il s’écria :
— « Combien je regrette le temps de la chevalerie ! »