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Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/101

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IV


               Il faut perdre cette maîtresse,
                         Oh ! si traîtresse,
Qui comme un rêve bleu n’aura fait que passer,

               Il faut pleurer cette amoureuse
                         Si savoureuse
Lorsque sa bouche en fleur s’ouvrait pour un baiser.

               Elle était toute parfumée,
                         La bien aimée.
Des senteurs de l’avril qui commence à pousser.