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Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/113

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Sentir son âme s’enflammer
Et que tout se résume en Elle,
Aimer, aimer, aimer, aimer !
— Et c’est là l’Idylle Eternelle.





Et toujours, tant que l’on verra
Des amoureuses en ce monde
Et qu’en nos âmes vibrera
La chanson troublante et profonde,

Les jeunes hommes dans leurs vers
Chanteront leurs mignonnes reines
Et les ciels bleus et les bois verts
Confidents discrets de leurs peines,