Aller au contenu

Page:Madeleine - L’Idylle éternelle, 1884.djvu/189

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

 
De douces choses sont écrites
Dans les feuilles des marguerites
Et les pétales des lilas ;
 
Et ces délicats interprètes
Ne sont jamais trompeurs, ni las
De guérir nos peines secrètes.