Page:Magre - La Tendre Camarade, 1918.djvu/216

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
206
LA TENDRE CAMARADE

manifestait-elle avec un petit regret des jours que nous venions de passer ensemble ?

— À bientôt. Ne vous ennuyez pas sans moi.

La voiture s’éloignait. Jocelyne ne se retourna qu’une fois en agitant la main. Non, elle n’était pas jalouse. Du moins, il me le semblait.